
J’isolerai,
Chaque ronde féminine de ton nom
Chaque voyelle de chaque syllabe
De tes lettres sang de feu guerrier
J’emprisonnerai,
Au creux de ma main
Ton sable grain-cendre
Des solitudes sahariennes
Je graverai,
Au ciel de mes espoirs battants
La victoire de tes phénix d’espérance
A jamais providentiels
J’écrirai,
Mes vers enfiévrés
Sur tes murs immaculés
Là, au cœur du Jardin des Maures
Aux zébrures océanes
Ma faim de toi…
Merci beaucoup à Marie-Laure qui m'a fait parvenir ce poème inspiré par un séjour à Ténérife en Septembre 2006.
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